14 Mars 2024 journee sur Verdelais et Sainte Croix du Mont


20 Février 2024 journée aux alentours de Sigalens


18.19 .20.21 Septembre 2023 randonnées en val de CREUSE

Argenton sur Creuse

Eguzon

 

Fresseline Crozan

Gargilesse

St.Sebastien




22.23.24.25 Mai 2023 le pays BASQUE

Randonnees aux environs d'ESPELETTE

Merci aux photographes


journee dans le Gers 27 Avril 2023 entre CASTERA VERDUZAN et VALENCE sur BAISE

 

Merci aux photographes

Journee a MONTAUT 23 mars 2023

 

Merci a Francoise Novac et Anne Rhedon pour les photos

 



Sortie a Saint Sauveur de Bergerac 13 octobre 2022

 

Photos de Danielle Dominique



Sortie a AUTOIRE 22-23-24 septembre 2022

Remerciments pour les photos de Danielle Dominique

22 septembre

 

23 septembre

24 septembre


 

Jeudi 23juin 2022 Journee entre Mios et Biganos

 

Merci a Danielle Dominique pour les photos


Jeudi 14 octobre 2021 journee autour de Bazas


 

Le jeudi 27 mai, Rando Val de Garonne a organisé une sortie à Rauzan, en Gironde.

 

Ce bourg à l’écart de l’axe Sauveterre/ Libourne mérite que l’on fasse un crochet. Marie-France et Alain Duroy , Catherine et Christian Heissat avaient préparé les randonnées.

Pour les 7 plus grands marcheurs, une boucle de 20 km à travers bois et vignes, avec pique-nique en route a été proposée. Pour les 10 marcheurs moins habitués à certaines distances, 2 randos, l’une de 8km le matin en boucle autour de Rauzan, l’autre entre 4 et 6 km (selon la forme) l’après- midi autour du village voisin de Jugazan ont permis à ces marcheurs de totaliser sans peine un kilométrage plus inhabituel. Les uns et les autres ont pu voir au passage des sites remarquables : le château de Rauzan, un moulin, des lavoirs, le dolmen de Curton et des jardins de particuliers très intéressants. Les vignes en fleurs permettent d’envisager une récolte normale de Bordeaux Supérieur. Au retour, un seul regret, pas de boisson en terrasse malgré la chaleur…la journée se termine donc par les retrouvailles des deux groupes autour de quelques gâteaux.

 

L’expérience sera refaite le jeudi 24 juin à Monbazillac, selon le même principe. Nous vous invitons tous à nous rejoindre même si vous n’avez pas repris votre licence cette année, même si vous n’avez pas beaucoup marché ; les randonnées proposées en tiendront compte. Nous souhaitons la présence du plus grand nombre pour faire de cette journée un prélude à la saison 2021/2022. N’hésitez pas à nous contacter et à vous inscrire grâce au formulaire qui paraitra sur le site de Rando Val de Garonne

Randonnée en ANDORRE...

 

 

Cette année, c’est par la Principauté d’Andorre qu’un groupe de 18 randonneurs du club marmandais Rando Val de Garonne a poursuivi l’exploration des Pyrénées sous un soleil radieux.

A partir d’ un hébergement à Ordino, ils ont parcouru du 17 au 20 juin les chemins du nord-ouest de ce pays montagneux. Si les chemins sont bien entretenus et balisés, ils nécessitent des efforts car l’altitude est élevée ( souvent à plus de 2000m,) et les dénivelés parfois importants. Mais les efforts sont récompensés par la beauté des paysages avec des vues panoramiques à couper le souffle, des lacs glaciaires aux eaux limpides (dont les 3 lacs de Tristaina encore enneigés) et la découverte d’une flore très variée, avec la chance d’avoir été accompagnés par le directeur du parc naturel de la vallée de Sorteny tout un après-midi.

Les différentes randonnées ont permis d’atteindre certains refuges dont celui du Pla de l’Estany dans le cirque glaciaire au pied du plus haut sommet d’Andorre, le pic de Comapedrosa ( 2942m.).

Ce groupe marmandais était ravi de cette escapade pyrénéenne au cours de laquelle a régné une ambiance décontractée et chaleureuse. Il faut dire qu’ils avaient, sans doute et sans le vouloir, adopté la devise de la principauté : «  l’union fait la force ».

 

 

 

 

Club Rando Val de Garonne, juin 2019.



 

 

SORTIE DU 11 au 14 juin  2018

VALLÉE D'AURE  STLary Soulan 

 

 

 

 

 

Dans la série "les vallées des Pyrénées", l’élue 2018 a été la vallée d’Aure.

Cette vallée des Hautes Pyrénées, où coule la Neste s’étire sur près de 40 km depuis Sarrancolin jusqu’à la frontière espagnole, accessible par le tunnel d’Aragnouet Bielsa.La commune la plus peuplée en est Saint -Lary, station de ski très prisée, qui comme sa voisine, Piau - Engaly , attire de nombreux passionnés de sports de neige.

Nous étions 19 à nous retrouver ce lundi matin, à 6h30, devant la boulangerie du pont de

Marmande, sachant qu’Yves et Bernard nous rejoindraient à Saint -Lary.

Nous nous sommes répartis dans cinq véhicules dont je vous détaille les occupants, chauffeurs cités en premier  

Pierrick, Colette, Nicole, Béatrice

Philippe, Evelyne, Anne, Claudine

Christian, Catherine, Annie et Dédé

Michel; Françoise M., Françoise M. et Martine

Marie-Claude, Monique et Jeanne  

Déjà, un grand merci à tous les chauffeurs qui nous ont véhiculés tout au long de ce séjour.

Nous voilà donc partis pour Saint -Lary avec une première et traditionnelle halte pour le petit déjeuner. Elle a eu lieu dans l’écrin de verdure de la halte nautique de Valence sur Baïse.  La Baïse roulait des eaux boueuses mais le lieu gardait son charme.Bien restaurés, nous avons repris la route, direction Mirande puis Lannemezan et enfin Saint- Lary où nous sommes arrivés vers 10H30 .Nous nous sommes garés sur le parking du téléphérique et de là avons découvert Saint -Lary à pied.A l’office de tourisme le bulletin météo annonçait la pluie pour les trois premiers jours de notre séjour et la météo ne s’est pas trompée!

 

Il en fallait plus pour décourager les randonneurs de Rando Val de Garonne.D ailleurs,  devant le manque d’animation de la ville aux  nombreux magasins fermés et devant l’accalmie de la pluie,  nous avons décidé d’avancer le départ de notre première randonnée, prévu  initialement en début d’après-midi .Après avoir prévenu Yves et Bernard, nous nous sommes rendus à Bourisp, point de départ de la randonnée des Quatre Villages .

Cette randonnée débute sur un chemin dallé et pentu qui après de beaux points de vue sur la vallée nous a menés sous le couvert forestier jusqu’à l’entrée du village d’ Estansan. C’est là que nous avons pique-niqué et que Yves et Bernard nous ont rejoints.Une averse mémorable nous a regroupés sous des abris assez peu efficaces avant de poursuivre notre ascension vers Azet ,où se situe la Maison du Pastoralisme fermée lors de notre passage.Alors que nous avions pris depuis notre départ 370 m de hauteur,  nous avons entrepris notre descente en repassant à Estensan puis en nous dirigeant vers Sailhan. En chemin nous avons pu apprécier le moulin de la

Mousquére, ancien moulin à eau datant du Moyen Age, aujourd'hui  restauré.

De retour à Bourisp nous  avons gagné le village d’Ancizan et notre hébergement situé en haut du village :l le gite "La Filature".Chacun s’étant séché et installé, nous nous sommes retrouvés pour un apéritif,  rituel répété chaque soir, je n’y reviendrai pas mais je dois souligner le succès du

Pacharan de Pierrick !

Outre le verre de l’amitié c’est aussi le moment de faire le point sur le programme du lendemain, bousculé par le mauvais temps.

 

Ainsi, ce lundi

avons-nous décidé de limiter la randonnée prévue  mardi aux lacs du Néouvielle à la découverte du lac de l’Oule.,

Ensuite nous sommes partis diner comme ce sera le cas les trois soirs, au restaurant "Au logis d’Arbizon".Je ne vous détaillerai pas les menus (nous ne sommes pas un club gastronomique) mais j’insisterai sur la qualité des plats proposés faits "maison"qui ont satisfait tout le monde et sur le service sympathique et familial.

Pour en finir avec l’intendance, c’est là aussi que nous avons pris nos petits déjeuners. A la télévision, muette mais branchée sur BFM TV, pendant notre repas, défilaient les images d’inondation partout dans le pays, ce qui relativisait les désagréments dus à la pluie que nous subissions.

Mardi matin,  nous étions tous présents, malgré le mauvais temps pour partir découvrir le lac de l’Oule. Apres environ 15 km de route, nous nous sommes garés au parking de l Artigusse point de départ de cette deuxième randonnée du séjour. Après un petit chemin caillouteux on gagne une piste qui s’élève en lacets jusqu’au pied du barrage.Le dénivelé est de 236 m depuis le parking et

le lac est à  1819m d’altitude.Tout au long de la montée des beaux points de vue s’offrent à nous malgré le mauvais temps sur le fond de la vallée, le pic de Bugatet et celui de Sarrat de Baranette. Puis la piste rentre dans la forêt, formée essentiellement de pins à crochets et de pins sylvestres;.Au bord du chemin nous avons découvert entre autres, de petites fleurs mauves identifiées par notre amie Francoise M  comme étant des grassettes,qui ont la particularité d’être des plantes carnivores.Nous avons ensuite atteint le refuge de l’Oule fermé jusqu’au 15 juin  .


C’est là qu’un petit groupe s’est arrêté alors que les autres randonneurs ont choisi de faire le tour du lac, très facile.Le lac de l’Oule est un lac artificiel de barrage dont la capacité actuelle est de 16,61 millions m3 alimenté en grande partie par les eaux du lac d’Oredon.

Nous nous sommes tous retrouvés au refuge pour pique -niquer avant d’entreprendre notre descente par le même chemin.

Nous avons regagné notre gîte et chacun a occupé l’ après-midi à son gré.

Lors de l’apéritif nous avons décidé d’aller le lendemain vers l’Espagne plutôt que de découvrir les granges du Moudang .Nous cherchions sinon le soleil, moins de pluie mais…

Ce mercredi matin, il pleuvait encore lors de notre départ pour la vallée de la

Pineta, située à 47 Km au sud-ouest de Saint Lary et que l’on gagne par le tunnel de

Bielsa puis par la route d’accès au Parador du Mont Perdu.  

Depuis le parking nous avons rejoint une piste qui monte en douceur mais traversée  par de nombreux cours d’eau qu’il nous a fallu franchir quitte à nous mouiller les pieds.

Pour paraphraser Mac Mahon je dirai :"que d’eau, que d’eau"

Il pleuvait, l’eau coulait, ruisselait, jaillissait de partout et les nombreuses  cascades avaient un débit impressionnant .Citons deux des cascades que nous avons traversées grâce aux ponts qui les enjambent:celle de la Cinca puis celle de Larri. C’est à cette dernière qu’un groupe a fait demi-tour, l’autre groupe décidant de rejoindre le refuge de Larri.

C’est un troupeau de vaches accompagnées de leurs petits veaux qui a empêché la majorité d’entre nous d’y arriver : elles étaient récalcitrantes et les bergers et leurs chiens avaient bien du mal à les canaliser, beaucoup faisant demi -tour en meuglant avec véhémence. C’est Philippe qui a d’ailleurs signalé à un des bergers qu’une vache et son veau avaient pris la poudre d’escampette et étaient redescendues.

Le GR, alternative à la piste empruntée, était dangereux compte tenu des conditions climatiques et nous avons décidé de pique -niquer avant d’amorcer notre retour.Sur le bord du chemin, nous avons pu observer la ramonde, fleur violette, endémique des Pyrénées   

La suite de l’après-midi a débuté dans les boutiques frontalières où après avoir fait le plein de carburant, chacun a effectué quelques emplettes.

De  retour au gite, le départ s’est préparé avec le ménage des locaux et la confection des valises.

Le   dernier jour, jeudi, la pluie a cessé faisant place au brouillard.Yves et Bernard nous ont quittés après le petit déjeuner, continuant leur séjour individuellement.

C’est dans ces conditions que nous nous sommes dirigés vers la Hourquette d’Ancizan , point de départ de notre dernière randonnée : le lac d’Arou. Cette randonnée facile (240 m de dénivelé pour 4 Km) emprunte un sentier en balcon qui traverse de vertes estives où vaches, chevaux, moutons se côtoient pacifiquement.Les points de vue magnifiques étaient rendus fantasmagoriques par le brouillard qui s’est dissipé seulement en fin de matinée .Après environ 1h30 de grimpette, nous avons atteint le lac d’Arou situé au pied de l’imposant massif de l’Arbizon . Point de marmotte au rendez-vous,  hélas , mais le point de vue valait nos   efforts.La descente a été facile et parvenus aux véhicules nous avons gagné le lac de Payolle ,lac artificiel sis dans une belle sapinière.

Puis ce fut notre dernier repas en commun de ce séjour,  au restaurant "Les Marmottes"Nous avons profité ensuite d’un moment  de détente sur  la terrasse ensoleillée. C’est là que nous nous sommes quittés avant de reprendre la route du retour, avec arrivée à Marmande aux environs de 19h.

Que retenir de ce séjour : la beauté des sites tout d’abord et notre capacité à nous adapter au  changement, notre capacité aussi de marcher sous la pluie,  qui devrait nous inciter à ne pas bouder les randonnées proposées dans l’année dès que la pluie tombe un peu.

 

Un grand merci aux organisateurs Philippe,Evelyne (cette dernière ayant mis entre parenthèse des problèmes de santé pour assumer sa mission) Colette et Pierrick. Qu’ils soient certains que leur travail a été  récompensé par notre satisfaction ,même si le programme qu’ils avaient prévu n’a pu être respecté . Nous avons déjà oublié la pluie pour ne garder dans nos cœurs que les paysages grandioses et la joie d’être ensemble.

 

 

Merci  Jeanne pour ce compte rendu 

Merci  Monique pour les photos



SORTIE DU 21 juin  2018

ANDERNOS - Les - Bains

Quelques photos de Catherine Lapaix



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Sortie au Canal du Midi du 2Mai 2018.ppt
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SORTIE DU 5 AVRIL 2018

MEZIN

Quelques photos de Danielle DOMINIQUE 

SORTIE DU 5 AVRIL 2018

MEZIN

groupe de la rando Santé 



SORTIE DU 8 MARS 2018 

CREON 

Quelques photos de Catherine Lapaix


Sortie à Brantôme le 23 mars 2017

 

 

Une effervescence printanière règne chez les randonneurs de Rando Val De Garonne qui se sont inscrits pour cette première sortie en car, à la journée, de l’année 2017 .

Malgré la pluie, c’est avec ponctualité et entrain qu’ils se présentent au départ à 7 H comme d’habitude, au stade Michelon où le car les attend.

Notre destination est Brantôme, commune du Périgord vert, située au Nord -Est de Périgueux et connue sous le nom de Venise du Périgord (baptisée ainsi par le président de la république Raymond Poincarré).

Après un trajet sans encombre, le car nous dépose, toujours sous la pluie à Pausssac et Saint Vivien, au hameau Le Breuil .

Le groupe des «  Baladurs » effectue ce matin un parcours de 10 kms ,guidé par Christian alors que Catherine prend en charge les « Baladoux »pour un circuit de 7 kms .

Les deux circuits serpentent dans des paysages calcaires et boisés. Malgré la pluie, le printemps est là : les arbres bourgeonnent et les tapis de  primevères jaunes ensoleillent notre journée .

Au cours de nos randonnées, nous nous écartons légèrement de nos itinéraires par un chemin avec de profondes saignées dans le roc, qui mène à un étrange décor : un vieil hameau de carriers. Plusieurs maisonnettes mi- bâties, mi- troglodytes ont été construites, appuyées sur les parois rocheuses, avec un mur de façade. Ces habitations dateraient des 12° ou 13° siècles : les carriers y habitaient le temps de leur commande de pierre puis rejoignaient leurs familles.

C est ensuite un dolmen, celui de Peyrelevade qui va éveiller notre curiosité.

Alors que nous arrivons au bout de nos randonnées du matin, la pluie cesse.
Le car nous conduit à Brantôme où nous pique –niquons éparpillés dans les jardins au bord de la Dronne. Nous ne nous attardons pas car il fait frais et humide même si la pluie a cessé.

Les « Baladurs » attaquent une boucle de 10 Kms passant par Verneuil alors que les « Baladoux »se rendent en car à Verneuil pour rejoindre Brantôme par un circuit de 5 kms .

Cet après midi nous permet de découvrir la petite ville de Brantôme entourée par la Dronne, son architecture médiévale et renaissance.

Nos randonnées se terminent après un parcours agréable, au calme, en grande partie dans des sous bois, en longeant l’abbaye et la mairie. Cette abbaye date  du 8 °siècle  mais a subi de nombreux remaniements  au fil des siècles  ..Son clocher ,bâti sur un éperon rocheux est un clocher à gâbles (pignons aigus) ,passant d’une base carrée à un sommet octogonal et est le plus ancien campanile de France .Une partie de l’abbaye est troglodyte ,construite dans la falaise qui surplombe l’abbaye .

C’est enfin par le pont coudé surmontant le moulin de l’abbaye que nous rejoignons le car car l ‘heure du retour a sonné.

En cours de route, nous nous arrêtons pour le traditionnel goûter au cours duquel les talents pâtissiers   de nos membres sont toujours appréciés.

 

Un grand merci à Christian et Catherine, organisateurs de cette sortie qui nous a permis de découvrir pour certains, de revisiter pour d’autres, cette partie du Périgord .Et à bientôt pour d’autres aventures pédestres, amicales et conviviales .

 

Jeanne

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Séjour à   Aubazine    16 17 18  septembre  2016

 

 

 

Ce vendredi, les sonneries d’alarme ont résonné de bonne heure   chez les 45 randonneurs qui partent pour le séjour à Aubazine. Un premier défi leur est   lancé : être à l’heure à Meilhan. Tout le monde gagne : à  6h30, le car peut démarrer comme prévu, nous menant d’une traite de Meilhan- sur -Garonne à l’aire du Pays de Brive où nous profitons de la pause « petit déjeuner ».Outre les boissons chaudes revigorantes, les talents des pâtissières  contribuent à en faire une pause gourmande. Ainsi restaurés, nous repartons pour quelques kilomètres et parvenons au lieu-dit « Le Planchat », point de départ de notre première randonnée. Tous ensemble, nous effectuons un parcours de 6,2 kms en grande partie sous un couvert boisé et en longeant des portions de l’ancien chemin de fer de Corrèze. C’est à Beynat, face à l’école et au son des voix enfantines que nous pique-niquons. Ensuite nous nous scindons en deux groupes, à destination du Lac de Miel. Les « Baladoux » sous la conduite de Catherine parcourent environ 5 kms et atteignent les premiers notre base, le camping du Lac de Miel où ils prennent possession des mobil- homes. Les « Baladurs » y arrivent plus tard après avoir marché environ 13 Kms à travers bois, en grande partie sous la pluie, mais ce désagrément s’efface devant la beauté de la nature corrézienne. .  Alors qu’ils s’installent à leur tour  ,les tartineurs  sont déjà en action .En effet ,des natifs de Septembre ,Françoise M  ,Catherine et Christian H, et Marcelle  (retenue par sa famille)nous convient à un apéritif  pour leur anniversaire alors que Colette et Pierre T nous font partager le bonheur de leur anniversaire de mariage .Qu’ils soient tous remerciés pour ce moment convivial et acceptent nos vœux pour la nouvelle année qui s’ouvre à eux .Nous nous retrouvons ensuite au restaurant du camping où nous dinons dans la bonne humeur. A 21h15, chacun regagne son mobil -home pour une nuit réparatrice.

 

 

 

Samedi, dès 8h, nous nous pressons devant le restaurant où nous attend un petit déjeuner que chacun compose à sa guise. A 8h30, le car nous conduit au lac du Coiroux point de départ de la randonnée du matin. De là, nous allons gagner tous ensemble Aubazine. Au cours de cette randonnée dans la vallée du Coiroux nous suivons le canal des moines sur la totalité de son trajet. Cet ouvrage exceptionnel, édifié au 12° siècle, capte une partie des eaux de l’impétueux torrent le Coiroux, longe le flanc de la vallée et amène l’eau jusqu’à l

 

abbaye des hommes d’Aubazine : pour mener à bien cette construction qui domine de plus de 40 m le fond de la vallée, il a fallu aux moines entailler le granite, créer des murs de soutènement  épais et étanches .Cet ouvrage, unique en son genre a été classé monument historique et a été restauré de 2006 à 2010  .Il nous mène donc à l’abbaye des hommes d’Aubazine que nous allons visiter, après avoir changé de chaussures(il convient de donner une bonne image des randonneurs).Nous participons tous à la visite avec Sœur Christophora qui se révèle un guide passionnant par sa culture et son humour. Elle nous raconte l’histoire de l’abbaye   nous fait découvrir ses richesses architecturales et nous rappelle que Coco Chanel y   a passé une partie de son enfance.  Pour l’anecdote, son célèbre sigle est inspiré des vitraux à grisailles de l ‘abbaye. La sœur attire aussi notre attention sur le clocher roman, unique au monde, par le passage de sa base carrée à son sommet octogonal grâce à un système de gradins de pierre. Mais après  avoir découvert l’ancien vivier et le grand réfectoire, la visite s’achève, à regret. Il faut savoir que depuis 1965 l’abbaye relève de l’église grecque melkite catholique et nous aurons l’occasion l l’après-midi   de visiter la chapelle de ce rite, dont les murs sont recouverts de fresques de l’iconographe orthodoxe, chilien, Juan Echenique. Il est déjà l’heure du pique-nique que nous prenons sur la place, réfugiés sous des tonnelles car la pluie s’est mise à tomber très fort. Elle compromet la suite du programme et Christian décide de surseoir aux randonnées prévues. Nous flânons donc dans les rues pentues d ‘Aubazine, peu animées malgré les journées du patrimoine mais charmantes. La pluie ayant céssé,Christian nous propose de nous rapprocher en car du Puy de Pauliac, but initial des « Baladurs ».C’est tous ensemble qu’après avoir vu la carrière de granite  du Puy de Pauliac, nous grimpons au sommet où un magnifique panorama s’offre à nous avec au nord les Monedières ,à l’ouest la vallée de la Corrèze et au sud  ,les Causses.De là nous poursuivons notre chemin jusqu’à la Roche Bergere  où des constructions en pierres plates ,posées les unes sur les autres , sans mortier n’ ont pas fini de livrer leur secret .La proximité de l’abbaye et de sa grange font pencher pour une réalisation cistercienne et l’étrange mur percé d’alvéoles pourrait avoir servi d’abri à des pigeons voyageurs. On sait aussi qu’un ermite y a vécu avec son épouse vers 1900. En redescendant vers le car, une autre construction encore plus ancienne nous émerveille : le cromlech du Puy de Pauliac, datant du néolithique, érigé dans

 

Une clairière d ‘environ 40 m de diamètre et vraisemblablement dédié au culte du soleil et de la lune.  Avant de remonter dans le car, saluons la performance de notre chauffeur qui pour nous être agréable a dû faire une marche arrière de plus de 2,5 kms. Nous regagnons ensuite le camping où notre soirée s’achèvera au restaurant avec un repas à thème (tapas et paëlla), fort apprécié.

 

 

 

Dimanche matin il faut déjà remballer nos affaires avant de prendre le petit déjeuner. Christian lui, s’active pour réceptionner le pain, livré par le boulanger d’Aubazine. Nous quittons ensuite le camping pour nous rendre en car à Curemonte, un des plus beaux villages de France, situé sur une ligne de crête en surplomb des vallées de la Sourdoire et du Maumont. Du   parking au-dessus du village nous partons tous ensemble pour une randonnée à découvert qui nous offre de beaux points de vue mais nos chemins se séparent, les « Baladoux » regagnant plus vite le centre du village où les « Baladurs » les rejoignent plus tard. Nous flânons ensuite dans les ruelles, charmés par les maisons nobles et les tours en brasier (grés local de couleur blond doré) des deux châteaux. L’écrivain Colette, marié à un homme politique, écrivain et journaliste corrézien a vécu à Curemonte et elle s’y est réfugiée chez sa fille, Bel Gazou, pendant l’occupation. N’oublions pas de dire que Curemonte est traversé par le 45° parallèle. Après quelques emplettes de produits locaux, agrémentées pour certains par une dégustation de vin de paille (n ‘en déplaise aux Jurassiens), nous retournons à notre point de départ pour la pause déjeuner. La pluie va à nouveau perturber le programme prévu et nous nous dirigeons en car vers un autre des plus beaux villages de France, Colonges- la- Rouge qui doit son nom à la pierre locale,un grès  rouge renfermant plus de 2% de dioxyde de fer. De nombreux artisans se sont installés là et le temps y passe très vite .Vers 14h15, nous nous retrouvons au car .La pluie ayant cessé, 15 courageux se rallient à la proposition de Christian de gagner Turenne à pied .Notre guide, aidé par Bernard et son GPS nous mènera à bon port sans nous épargner la montée finale, en partie sur une route empierrée.Une halte à Ligneyrac nous permet de visiter l’église de Saint Cyr et Sainte Julitte grâce à l’amabilité de la gardienne des lieux.

 

Les autres randonneurs choisissent d’accompagner notre chauffeur à Turenne : ils auront le loisir de découvrir ce village lui aussi classé dans les plus beaux villages de France.   Portant le nom d’une puissante vicomté ayant régné pendant dix siècles sur le Limousin, le Périgord et le Quercy, Turenne a gardé de nombreuses traces de son histoire, à découvrir en arpentant les ruelles étroites. En haut du promontoire le château démantelé arbore encore deux tours du 13° siècle. Mais il est temps de rentrer à Marmande et nous reprenons donc la route. Parvenus à Rouffignac de Sigalens, nous nous arrêtons pour le traditionnel casse-croûte .Je dirai simplement « La Corrèze, ça creuse ! » : malgré l’abondance des mets, tout a été consommé, le salé comme le sucré. Et puis c’est la fin du voyage avec nos derniers échanges. Christian nous remercie pour notre ponctualité, notre   acceptation des modifications liées à la météo  et pour la bonne ambiance qui a régné entre tous.il remercie également notre chauffeur et lui offre un petit présent. A notre tour de remercier Christian et Catherine qui ont organisé ce séjour, qui nous a permis de prendre un bol d’air dans la forêt corrézienne, de nous enrichir culturellement mais aussi de mieux nous connaitre. Si la pluie a perturbé le programme, elle n’a pas entamé la bonne humeur des randonneurs et de leurs guides, lesquels ont su adapter aux caprices de la météo, les activités pour tous. Il ne nous reste plus qu’à rêver aux prochains séjours de Rando Val de Garonne !

 

 

                                                                                     Jeanne 


 

 

 

 

Séjour à l'île de Ré du 5 mai au 9 mai 2016

 

JEUDI 5 MAI

 

Après le départ,  comme prévu à 7h15, de l’aire d'autoroute  de Marmande, nous nous arrêtons pour un petit déjeuner sur l'aire  de Cézac sous le soleil.

Ainsi réconfortés,  nous reprenons notre route pour le pont de l'île de Ré que nous passons sans trop d ‘encombre malgré  l ‘afflux   des visiteurs pour ce long week-end  de l ‘Ascension.

 Nous nous garons au parking de la base nautique de La Flotte en Ré d'où nous démarrons notre première randonnée qui suit le sentier côtier jusqu'à Saint-Martin de Ré. Après être passés devant la porte  de la citadelle qui servit  de dépôt de regroupement pour les condamnés aux travaux forcés de 1873 à 1938 avant leur départ pour les bagnes  de Guyane ou de Nouvelle-Calédonie ( y ont séjourné le capitaine Dreyfus et Papillon),  nous pique-niquons au pied  des fortifications Vauban ( 14 Kms de linéaire)  .

 Certains montent au sommet du clocher de l'église Saint-Martin puis après une pause dans un café, nous nous scindons en deux groupes, l'un reprenant le sentier du matin,  les autres achevant la boucle en passant plus à l'intérieur des terres.

 Nous  gagnons ensuite La Couarde sur Mer  et nous installons au camping de la Tour  des Prises dans d'agréables mobile homes  bien équipés. 

L'équipe formée par Marie Claude, Annie  et Jeanne s'active pour préparer l'apéritif et le dîner qui nous  ont tous réunis : merci à Annie qui  a cuisiné le délicieux poulet à la piperade et à toutes les pâtissières  qui ont préparé  les desserts.

 

VENDREDI 6 MAI

 

 

Nous nous rendons directement au phare des Baleines  qui permet aux marins de s'approcher sans danger de l île. Les plus courageux attaquent,  avant l arrivée de la foule,  la montée des 257 marches du phare. Leurs efforts sont récompensés car  le point culminant de l île  offre une vue superbe sur l'océan, la plage, les marais salants et le parc d'influence anglaise au pied  du phare.

Merci à ceux qui ont patiemment attendu notre  retour avant de partir à Saint  Clément les Baleines  où nous laissons nos véhicules. De là, traversant la réserve naturelle de Lilleau des Niges , refuge  de nombreux oiseaux, croisant en chemin mouettes , sternes et bernaches , nous  faisons halte au bois de "trousse chemise"  celui que   chante Charles Aznavour.

 Sous les pins et sous les chênes, nous échappons à une brève averse. Une incursion dans le village le plus mondain de l île, les Portes en Ré (où certains ont croisé Fabrice Lucchini) et nous voilà repartis .

Longeant ensuite l'océan nous atteignons   la pointe du Lizay   puis la  Conche des baleines. Traversant ensuite les  terres, nous retrouvons notre  point de départ après la boucle la plus longue du séjour .

Le  soir, après l'apéritif organisé au camping, nous nous  rendons  au restaurant portugais "Ilha d' el sol" au Peu Ragot . Nous avons tous apprécié le décor de la salle et la qualité des  mets proposés.

 

SAMEDI 7 MAI

 

Départ pour le port d' Ars en Ré pour une randonnée à travers le Martray où nous cheminons ,entourés  par des haies  de moutarde dont  les fleurs jaunes exhalent un doux parfum. Nous pouvons  observer à nouveau des marais salants, des oiseaux, sous un ciel nuageux mais sans pluie. La boucle est bouclée lorsque nous regagnons Ars en Ré dont nous visitons l'église Saint-Etienne à l'architecture à la fois  romane et gothique et dont le clocher d' environ 40 m de haut,  blanc et noir à sa pointe , a longtemps servi d 'amer  aux navires  naviguant dans la passe.

 Nous nous restaurons ensuite,  égayés  autour du port.

Puis nous nous séparons, seul un petit groupe choisissant de se rendre à pied à Loix,  la plus petite commune de l ´ île qui autrefois était distincte  du reste de l île.

De là, nous partons à la découverte de la plage du Grouin   traversant encore des marais salants. Nous nous retrouvons tous au camping et plus tard au restaurant "au soleil d Ars "  La serveuse dynamique et sympathique a encore augmenté sa popularité en déclarant "soutenir la gent féminine." Les huîtres et les moules étaient au menu et ont  fait le bonheur des amateurs.

 

 

DIMANCHE 8 MAI

 

Toujours en forme,  nous quittons à pied le camping pour suivre   le littoral, cheminant d'abord au bord de l'océan le long des plages des Prises,  du Peu Ragot des Anneries et    de la Gollandieres avant de finir notre boucle dans les terres.

 Peu  avant l'arrivée au camping , nous nous  apitoyons sur  un cygne  manifestement blessé, immobilisé dans une vigne:  un appel au secours est lancé par Jeanne  au refuge de Lilleau des Niges . Dans l'après-midi nous pouvons constater que les amis des oiseaux sont intervenus. Espérons  que le beau cygne blanc s'en soit  tiré.

Apres  le repas au camping, chacun a quartier libre pour l'après-midi : un seul impératif qui sera respecté, être à l'heure pour l'apéritif et le restaurant du Peu Ragot d' où une fois de plus ,nous repartons repus  et satisfaits , ayant pu apprécier les spécialités portugaises à base de poisson.

 

 

LUNDI 9 MAI

 

Lundi matin, chacun s'active pour laisser les  mobile homes en parfait état de propreté et charger les voitures.

Nous partons pour la Rochelle, munis des instructions nécessaires pour stationner au parking de Verdun. Guy  nous propose alors  un circuit pédestre et touristique  à travers le centre et le port de la Rochelle.

 Après le déjeuner au choix de chacun,  nous  filons pour Rochefort. Un guide nous y attend qui nous fait visiter la corderie royale sise sur les bords de la Charente. Longue de  374 m cette manufacture de cordages aux allures de palais, était la plus longue du XVIIe siècle. Nous  en sortons enrichis  de la connaissance de la fabrication des cordages à partir du chanvre   mais aussi conscients  des difficultés physiques de certains métiers y afférant  et de la technicité nécessaire à des réalisations de grande qualité.

Puis  la guide nous conduit sur le chantier de l'Hermione qui se refait une beauté avant de reprendre la mer  pour Brest où elle participera au  grand rassemblement des fêtes maritimes en juillet 2016 .Outre la visite des différents ateliers et des ponts du navire, un petit film retraçant le voyage de l'Hermione pour les USA est particulièrement émouvant.  Les jeunes volontaires ont vécu là une expérience inoubliable.

 

 

Le  temps du retour est venu, et si la nostalgie nous gagne comme chaque fois qu ´ une belle histoire se termine, nous gardons tous au fond de nous de précieux souvenirs.

 

Comment finir sans dire notre gratitude à Marie Claude et à Guy, initiateurs et organisateurs de ce séjour, qui ont su faire preuve tout le long de diplomatie,

s’adaptant aux exigences particulières.

Merci  aussi à nos reporters photographes,  Marie Christine et Jean Paul qui se sont attachés  à retranscrire par l image  nos pérégrinations.

Et à bientôt pour de nouvelles aventures.

 

 

 

                                                                                     Jeanne 

                                            SORTIE à ANGOULÊME les 13 & 14 mars 2014

        14 participants répartis en 3 voitures pour le covoiturage, séjour organisé par Marcelle MOUGEVILLE.

 

            Nous effectuons un arrêt d'une demi-heure pour un petit déjeuner partagé juste après avoir traversé Ribérac en Dordogne. Le beau temps est bien ancré et conforte la bonne humeur du groupe. Nous arrivons vers 10 heures à Angoulême. Nous commençons notre visite des murs peints de la célèbre cité de la bande dessinée. Nous consacrons près de trois heures à parcourir notamment la ville haute et ancienne où se situe l'Hôtel de Ville (Château de Marguerite de Valois née en cette cité et soeur de François 1er), les Remparts de la vieille ville, les halles, le Palais de Justice, l'église Saint-André... Parsemées ici ou là, les oeuvres de Hergé, Titeuf et autre dessinateur célèbre font l'admiration de nos randonneurs.

 

            Après avoir pris notre repas sorti du sac dans le jardin près du Lycée Guez-de-Balzac entre 13 et

14 h, nous reprenons les voitures pour nous rendre à Magnac-sur-Touvre à l'Est de la ville d'Angoulême. Nous effectuons un circuit d'une heure et demie vers les ruines du château de Ravaillac et les résurgences de la Touvre. Certains en profiteront pour acheter chez un petit producteur, le célèbre apéritif régional, le pineau des Charentes, que Marie-Claude aura la gentillesse de nous offrir le soir avant le dîner.

 

            Vers 17 h 30, nous nous arrêterons à Vouthon pour la visite d'un moulin à huile de noix et de noisettes, situé dans un ancien relais des Templiers. Lors de la démonstration, Christine s'essayera au pressage des cerneaux ! Après quelques achats d'huile, il est temps d'aller s'installer pour la nuit au village de vacances "Le Chambon" près d'Eymouthiers où un repas simple mais copieux et bon nous sera servi.

 

            Vendredi matin, après le petit déjeuner servi vers 8 h 30, nous allons découvrir à Magnac, le Château de la Mercerie ou Château Réthoré du nom de deux frères enterrés là et dont l'un fut député dans les années 1930 et qui se croyait Prince dans "son" Petit Versailles" mais qui ressemble davantage à un château d'inspiration italienne. Nous poursuivons ensuite jusqu'à Villebois-Lavalette où une guide de l'Office du Tourisme nous commentera la visite de la cité médiévale et du château millénaire ayant connu plusieurs vies ; un panorama sur les paysages vallonnés à ravir depuis la promenade au sommet du Puy Sanseau.

 

            Nous déjeunons en plein air sur la place du foirail ensoleillée. L'après-midi, à Montmoreau, une randonnée de 8 km s'étirera sur 13 environ, à cause d'une ligne électrique facétieuse qui induira notre guide Marcelle en erreur. Mais la bonne humeur continuera à régner sur le petit groupe. Certains "nouveaux" découvriront avec bonheur leurs capacités d'endurance. Arrivés à 18 h à notre point de départ, nous reprendrons les voitures pour regagner Marmande sans encombre grâce au GPS.

                                                                                      Martine LEGRAND et Lucien PETIT

Lalinde et le Cingle de Trémolat, dimanche 18 mai 2014

Nous n'étions que six randonneurs ce 18 mai pour la sortie du "Cingle de Trémolat" en Dordogne. Marie-Claude s'est chargée à nouveau de la conduite des quatre randonneuses depuis Marmande, à la suite de la petite voiture couleur cerise de Lucien à partir d'Eymet jusqu'à Lalinde. Celui-ci nous a pilotées par les petites routes secondaires peu fréquentées à ce moment-là. 

 

Après avoir longé à l'allure de promenade active une partie du canal de Mauzac, nous avons grimpé sur les coteaux. Déambulation agréable dans les chênes verts jusqu'à la forêt des Foulissards dans des effluves aux parfums de miel apportés par une brise printanière qui nous a accompagnés jusqu'à la fin de la randonnée. Après quelques "repentirs" jamais désagréables, nous avons trouvé la charmante Fontaine de Brongidou au bassin d'eau claire dans un cadre digne d'un conte de fées. De loin en loin, des monticules moussus ou des bories attestent de constructions et d'une vie pastorale très ancienne. 

 

Après le pique-nique à Millac dans un coin ombragé avant la crête de type "Causses", à la végétation plus sèche, la randonnée s'est poursuivie au même rythme de marche sur le GR 6. Nous avons aperçu quelques villas silencieuses se cachant au fond de jardins sympathiques et bien fleuris invitant à la sieste. Nous avons aussi découvert un magnifique corps de bâtiments aux pierres dorées, vieille demeure traditionnelle périgourdine auprès de laquelle nous nous sommes reposés, contemplant le "théâtre" surplombant Mauzac et son canal, avec le beau décor de l'aqueduc de la Tuilière.

 

Le retour s'est effectué en longeant le canal jusqu'à Lalinde, un peu plus lent dans l'avancée mais par bonheur la brise nous a soulagés un peu de la chaleur de l'après-midi.

 

Solitude presque totale de la forêt, silence, bien-être d'un air doux et parfois délicieusement parfumé : nous n'étions que six randonneurs ce 18 mai pour cette marche de 23 km de Lalinde-Cingle de Trémolat, mais six randonneurs bien heureux !

                                                                                                    Marie-Christine LOISEL

 

 

 

 

 

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